Les rochers semblent moins glissants que vus de loin, et vous vous engagez vaillamment. La nuit commence à tomber, et vous craignez d'être pris dans l'obscurité dans cette situation peu confortable, donc vous accélérez le pas. On ne court pas sur des rochers glissants, c'est la moindre des prudences, votre maman vous l'a dit vous ne savez combien de fois (normal, vous êtes amnésique). Au troisième pas, votre pied se dérobe sous vous, et vous dévalez la pente de plus en plus vite. Jusqu'à ce que votre corps déjà sans vie vienne heurter le premier de ces véritables couteaux de roc que vous voyiez d'en haut. C'est vraiment dégueulasse à voir, heureusement que vous êtes déjà mort. On se retrouve au 13.
Vous n'avez rien.